En 1994, Dominique Thirion réalise une série de petites pièces au pastel sur fibre de verre où s’inscrivent des formes géométriques. Elles sont obtenues de façon aléatoire par le biais du jeu de billes : le positionnement des billes marque les points servant à constituer les lignes de ces volumes improbables. Par ailleurs, le titre de cette série se réfère à l’un des derniers tableaux minimalistes de Francis Picabia intitulé « Combinaison aléatoire de trois points ».